Il ne reste que trois petites semaines de cours à l’université et tout se bouscule au portillon. Seulement cette semaine, je dois rendre une réflexion sur la Nation et faire un exposé d’une demi-heure à saveur juridique ce qui sous-entend examiner des jugements de la Cour Suprême (*head bang*).
En plus, je m’en veux de ne rien avoir écrit jusqu’à maintenant sur mon sujet de mémoire. J’ai lu et amassé de la documentation, mais je devrais être plus avancée surtout que j’ai une rédaction à rendre sur mon sujet dès le retour des vacances. J’ai également un exposé de 30 minutes sur un sujet militaire qui m’intéresse beaucoup à présenter le dernier jour avant les vacances.
J’ai l’impression que ces travaux flottent constamment au-dessus de moi comme des vautours, angoissants et porteurs de malheurs. En plus, monsieur le chien qui sort moins et qui reste seul depuis que j’ai recommencé les cours se plaît à trasher mon salon et à aboyer. C’est normal, car je ne peux pas l’amener au parc se défouler étant donné que les fonctionnaires le ferment à 17 h et que dans le meilleur des cas c’est l’heure à laquelle j’arrive à la maison. IL M’ÉNERVE !
Donc ça gratte partout, parce que l’expression de mon stress passe par l’apparition d’eczéma qui calque son expansion sur mon degré de nervosité interne. Plus je me gratte, plus je stresse donc plus j’aurais à me gratter. L’application de cortisone deux fois par jour ne suffit pas à faire disparaître les lésions qui ne cessent de s’accroître. J’en ai marre de cette maladie qui me suivra jusqu’à la fin de mes jours, car il est impossible d’en guérir, seulement de traiter les symptômes à la cortisone. Cela amincit la peau à chaque application.
D’un autre côté, j’aime mieux avoir l’eczéma qu’une maladie plus grave. C’est assez mineur comme truc, bien qu’agaçant. Allez, je me sauve à la bibliothèque, je vais essayer de bien amorcer mes travaux afin de faire tomber le niveau de stress.
Hasta Luego !
