J’ai très peu écrit ces deux dernières semaines. J’ai préféré suivre mon père dans ses visites à travers Paris et en Normandie. Je vous raconterai ces aventures avec un peu de retard, car j’étais trop fatiguée le soir pour le faire. C’est d’autant plus difficile parce que mon ordinateur était souvent squatté. Bien sûr, il y a le laptop de Réjean, mais je refuse d’apprendre le clavier AZERTY. Tout simplement parce que je n’ai pas envie de refaire un apprentissage que j’ai acquis à l’école secondaire.
Sinon, j’ai reçu une mauvaise nouvelle ce matin. Le gouvernement du Québec désire me couper les vivres, car il y aurait vraisemblablement un problème avec ma bourse. L’explication donnée dans mon dossier internet est confuse. Je vais devoir attendre 15 heures pour les appeler bien. L’attente est difficile, car je stresse depuis 9 heures ce matin. J’espère seulement pouvoir arriver à une entente avec eux. Sinon, le retrait de la bourse aurait l’effet d’une bombe pour mon mini-budget. Je n’ai pas du tout envie de reprendre une job poche (un petit boulot).
En attendant, je me prépare pour un autre week-end de camping (vive la Pentecôte!). J’avais envie de me rendre du côté de la Sarre, en Allemagne, pour visiter le parc des loups avec mon petit loup domestique. Tandis que Réjean souhaite retourner voir les plages de Normandie. Ça serait la deuxième fois cette semaine que je vais dans ce coin de pays. Mais bon l’important c’est de partir!
Bon courage pour ta bourse, il n’y a rien de pire que les embrouilles administratives (enfin, si, mais elles font partie du top ten, disons!)
Je viens tout juste d’appeler et je devais remplir un papier mais ils ne m’ont jamais avertis. Heureusement je devrais continuer de la recevoir tranquillement lorsque je leur aurai renvoyé le papier que je dois aller faire signer à St-Denis !
Bref c’est pas plaisant comme situation mais ce n’est pas si pire.