En attendant les vacances, samedi nous nous sommes encore baladés dans Paris et dimanche j’ai fait un grand ménage (qui n’est toujours pas terminé :)). Bref, rien d’extraordinaire sauf que j’ai été confrontée à deux choses qui m’ont marquées.
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On a apperçu deux hommes qui nageaient dans la Seine aux abords de Paris Plage. Ce n’était pas des touristes imprudents mais des pompiers ou des policiers qui s’entrainaient. J’ai eu une pensée pour les pauvres nageaient dans les algues et les déchets du fleuve dont le niveau est assez bas.
Nous avons continué sur les berges jusqu’au métro Assemblée Nationale où nous avons pu apercevoir:
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| #2 |
Si vous ne parlez pas anglais, Chéri a traduit l’affichette en tant que: «Casse-toi, tu pues». J’ai bien sûr fait suivre les photos au service client de la RATP qui a été très prompt à me répondre. C’est quand même dommage ce genre de choses car ça contribue à donner mauvaise réputation à la ville alors que habituellement les agents de la RATP sont courtois et aident les touristes.
Sinon, dimanche Chéri a bien voulu prendre des photos d’une robe que j’ai cousue. J’ai utilisé le patron 11A de Burda qui est disponible gratuitement sur leur site web. Le patron n’a pas été très bien pensé car le système de fermeture est tellement mal placé que je ne peux la porter que lorsqu’il y a quelqu’un pour la boutonner et la déboutonner. Sinon, elle est très courte et très décolletée!
Je crois que je vais attendre l’automne pour la porter avec une camisole et des leggings en-dessous 🙂
C’est vrai qu’une baignade dans la Seine, très peu pour moi!
En tout cas, j’aime beaucoup ta robe, bravo!
Bravo pour la robe 😉 Je n’ai pas ce talent 😉
Merci les filles 🙂
très étrange ce stand RATP !!
Oui, en espérant ne plus en croiser des comme ça!
Ugh, je crois que je préfèrerais sauter de la Tour Eiffel que de me baigner dans la Seine!
Quant à l’affiche, it is rude. Surtout en plein milieu de la saison touristique… la RATP n’aime pas les touristes je crois, ils voulaient absolument nous refiler des pass Navigo alors qu’on leur avait bien dit qu’on était là pour deux jours et qu’on voulait des tickets. Visiblement, les tickets sont passés de mode… pas ma faute!