Juillet, c’est le mois où tout le monde part en vacances… sauf moi ! Comme chaque année, j’ai eu beaucoup d’occupations et préoccupations.
J’avais encore un logement à louer pour le mois d’août. Malgré ce qu’on entend sans cesse sur la pénurie de logements, ça n’a pas été simple de trouver la bonne personne. Combien de fois j’ai attendu un prétendant qui ne s’est jamais présenté — et qui ne répondait plus aux messages à l’heure du rendez-vous ! Finalement, j’ai trouvé un locataire, mais ça a été beaucoup de stress !

Côté maison, j’ai enfin pris la décision de faire isoler par l’intérieur, avec des injections de polystyrène. L’avantage, c’est qu’on évite de tout démolir, mais en contrepartie… il faut repeindre chaque pièce. Je vais m’en occuper tranquillement, une pièce à la fois. Ça me décourage un peu, mais j’essaie d’y aller de façon vraiment compartimentée pour alléger la charge mentale (1 seule pièce en désordre, scope réduit, dépenses progressives).

Et puis, pour continuer avec les bonnes nouvelles (ironie), ma voiture est tombée en panne en pleine pluie torrentielle. Elle s’est transformée en brique, plantée au beau milieu du stationnement d’IKEA. Heureusement, mon père habite tout près et il est venu me survolter. J’ai fini par diagnostiquer le problème : corrosion sur les cosses de batterie. Mais n’étant pas spécialiste, j’ai tout de même fait vérifier l’alternateur et le système de démarrage au garage. Résultat : une petite taxe de 40 $ pour mon manque de confiance en moi !

Heureusement, mon copain a tenté de me sortir de tout ça. Il m’a emmenée faire du vélo sur le Petit train du Nord, dans les Laurentides. C’est toujours magnifique, même si j’ai vite réalisé que mon nouveau vélo avait un grand potentiel de torture musculaire… Ha, je ne vous avais pas dit que je me suis bloqué le dos ?
Voilà pour juillet. L’été passe décidément trop vite. Dans quelques jours, ce sera déjà la rentrée scolaire.


Laisser un commentaire